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24 juillet 2009

La justicière perverse

Attention ! Ce personnage est plutôt du style ecchi avec un fort côté hentai donc plutôt interdit au moins de 16 ans avec une préférence pour les adultes. Je sais que ce blog est plutôt tout public, c’est pourquoi je signale cet écart.

Le personnage a été créé pour un concours du lycée Okidawa dont le thème était le hentai. Je me suis bien amusé avec elle. J’en garde de bon souvenir mais le concours est tombé à l’eau. Il n’y a eu aucun gagnant et que des personnages féminins en jeu.

Le style d’écriture change radicalement de mon premier personnage. Le choix délibéré d’utiliser la première personne est un clin d’œil aux comics et séries américains sur les super héros. Au tout début, il y a souvent la voix off du personnage principal donnant l’impression de relater des faits passés. On peut aussi retrouver ce style pour d’autres styles.



haruka

 

Nom : Takahata
Prénom : Haruka

Âge : 15ans
Sexe : féminin

Statut : Collégienne
Orientation : Bisexuelle


Biographie : Mon nom est Takahata Haruka, j’ai actuellement 15 ans, née un 12 juin à Tôkyô, ville que je n’ai pas quittée avant mon renvoi et je suis une fervente défenseuse de la Justice. Mes parents ayant divorcé, je vis seule avec ma mère qui est représentante en cosmétique. Ma mère ne m’ayant jamais parlé de mon père, je n’ai aucune information à vous transmettre à son sujet.

Ma passion pour la Justice vient des mangas et des animés que je regarde depuis ma tendre enfance. Je suis une fane des sentaî et des magical girls justicière. A force de suivre leurs exploits, j’ai eu envie de suivre leurs traces. Pour cela ma mère m’a apprise à coudre dans le but de confectionner mon costume de justicière. Celui-ci était basé sur la tenue de Sailor V. Pour me créer une silhouette digne des plus grandes héroïnes je me suis donnée à fond dans le sport, surtout l’athlétisme pour poursuivre les criminels, et j’ai demandé à ma mère de m’inscrire à un Club de Kendo et de tir à l’arc. Je n’étais pas très douée à l’école, une élève normale un peu indisciplinée, faisant respecter le règlement intérieur avec des arguments convaincants. C’est-à-dire que j’utilisais mon uniforme de justicière et brandissait mon épée en plastique pour faire respecter le règlement. Il m’arrivait souvent de mal comprendre la situation mais c’est le risque du métier. La directrice de l’école convoquait régulièrement ma mère à cause de ma manière d’agir. Elle pensait que je souffrais de l’absence de mon père et du manque de présence de ma mère. J’agissais donc de la sorte pour attirer son attention. J’ai eu quelques discussions avec ma mère à ce sujet, toutefois elle me laissait agir comme je l’entendais en pensant que j’allais me calmer en grandissant. En plus de faire respecter l’ordre dans mon école, je le faisais aussi dans la rue. Que ce soit dans la rue ou dans mon établissement, je cherchais toujours des endroits élevés pour faire ma présentation et poser pour que tout le monde m’admire. Malheureusement cette présentation se terminait régulièrement en catastrophe. Par exemple, à cause d’une mauvaise réception et surtout parce que je voulais en faire trop, je me retrouvais par terre, les fesses à l’air, dans les bras d’un camarade…

Lorsque je suis entrée au collège, ma mère me demanda d’arrêter mes jeux d’enfant et d’être sage. J’ai essayé mais la justicière est revenue au galop. Je continuais toujours à pratiquer le Kendo et le tir à l’arc. J’étais une brillante élève dans le Kendo et moins bonne comme archère. Sakura, ma meilleure amie d’enfance, adorait coudre, filmer ses créations et aussi était une fille plus en avance sur le plan sexuel que moi. Elle m’a conseillée de changer ma tenue pour attirer l’œil. Elle m’aida donc à confectionner une nouvelle tenue. Après plusieurs tentatives nous étions satisfaites, elle était beaucoup plus légère et ne couvrait que les parties intimes. Je fis aussi l’acquisition d’un véritable katana que je nomma Ségi no ha (lame de la justice) et que je portais toujours dans le dos. L’attachement que je portais à mon katana m’a posée beaucoup de problèmes que ce soit au collège ou en ville. Dans mon établissement, les professeurs me demandèrent de le laisser chez moi et je leur rétorquais qu’aucun règlement n’interdisait de porter un Katana si on ne s’en servait pas. En ville, les habitants pensaient que je devais faire partie d’un gang, d’une famille de Yakuza voir même une folle. Toutes ces insinuations ne me touchaient pas car la justice était et est toujours de mon côté. A force de m’entraîner, j’appris à enlever mon uniforme de collégienne en une fraction de seconde pour me retrouver en guerrière. Cette tenue n’était pas bien vue par les professeurs mais j’avais de nombreux femmes au près des élèves.



haruka

 

Durant cette époque, j’ai eu un nouvel hobby. Je me suis intéressée à la lingerie. Ce hobby m’a été transmis par Sakura. C’est elle qui m’a appris que les garçons appréciaient la lingerie fine et les rudiments de la séduction dont la lingerie était un atout à ne pas négliger. A l’heure actuelle, j’en ai une belle collection allant de la simple culotte aux porte-jarretelles en passant par les slips et les caleçons. Pour m’en procurer soit je les achète, soit je les pique à mes victimes et aux adversaires qui osent me défier comme gage de leur défaite ou soit je les vole dans le tiroirs, casiers de l’école ou directement sur les cibles que j’aurais préalablement choisit en leur soulevant la jupe ou en leur baissant le pantalon puis leur sous-vêtement les laissant les fesses à l’air. De même pour les soutiens gorges, je pesse rapidement et délicatement la main et l’enlève sans que son propriétaire s’en aperçoive. Là aussi, j’ai acquise une bonne dextérité pour ne pas me faire repérer. Au début, je me faisais avoir à chaque fois mais maintenant c’est un jeu d’enfant. Toutefois si la cible porte un pantalon, je ne peux pas récupérer son sous-vêtement sans devoir combattre ou la forcer à me le donner. On peut dire que je suis assez portée sur le sexe car je jubile lorsque je découvre les parties intimes de mes victimes.

Je vous ai parlé de mon costume de justicière mais ce n’est pas le seul que je possède. Sakura m’en a créée d’autres allant de la soubrette en passant par l’infirmière. En fait c’est elle qui m’a initiée au sexe. Chaque week-end, j’allais jouer chez elle et son jeu favorit était de jouer à « l’esclave et sa maîtresse » comme elle se plaisait à dire. J’étais donc l’esclave de Sakura ou plutôt devrais-je dire son jouet et je devais l’appeler maîtresse. Dans ce genre de situation, je ne devais pas avoir de volonté. J’étais soumise au bon vouloir de Sakura. Elle pouvait faire de mon corps ce qu’elle voulait comme me laver, m’habiller ou me faire l’amour et moi répondre à ses attentes. Une fois que ‘mon éducation’ fût terminée. Elle invita des inconnus de notre âge (filles et garçons), voir même des adultes quand ses parents étaient absents pour que j’ai d’autres partenaires de jeu tandis qu’elle regardait et filmait le spectacle avec un grand plaisir. Vous vous demandez sûrement pourquoi j’ai accepté de jouer à de tels jeux ? Parce que je me suis sentit redevable de l’attention que Sakura portait à mon égard puis par la suite j’ai apprécié d’être soumise. Eprouvant même un manque quotidien de sexe et cherchant des partenaires (masculin, féminin ou les deux). C’est aussi un moyen de récupérer des sous-vêtements.

A cause de nombreuses plaintes des parents d’élève et à la vue de mes agissements qui devenaient de plus en plus violents, la directrice n’eût d’autres choix que de me fermer les portes de l’établissement. C’est pour cette raison que je me suis retrouvée inscrite dans l’établissement Okidawa.

Description physique : Haruka mesure 1,42 mètre pour 33 kilos. Ses cheveux sont bruns avec de jolies reflets mauves, lisses et tombent en cascade jusqu’aux reins et de magnifiques yeux mauve. En fonction de son envie, elle porte soit des jeans, soit une jupe mi-long, lui arrivant jusqu’aux genoux ou bien une mini-jupe pour aguicher. Comme haut, un T-shirt ou un simple débardeur laissant apparaître son décolleté et sa poitrine généreuse pour son âge (un bonnet D). Son katana, qui fait partie intégrante de son corps est accroché par une ceinture épaisse en cuir parcourant en diagonal son buste, de droite à gauche. Elle porte des baskets. Concernant le port de l’uniforme, elle porte son katana de la même manière que dans la vie de tous les jours. En guise de sous-vêtements, elle porte généralement sa tenue de justicière. Ce dernier est entièrement en cuir noir avec de longues bandes cachant son anatomie et faisant aussi office de string. Des fils noirs formant des losanges, sont accrochés de part et d’autres des bandes de cuirs. Cette tenue s’enlève en dénouant des ficelles qui se situent dans son dos. Toutefois pour séduire elle porte des porte-jarretelles et des strings avec un magnifique soutien-gorge ou rien du tout. Elle s’épile entièrement (aussi bien les jambes que les parties génitales)

Description psychique :

Haruka est une jeune fille comme toutes les autres, avec ses multiples facettes. Toutefois on peut aisément distinguer deux personnalités bien distinctes. En tant que Justicière, son but principal est de combattre le mal partout où il se trouve et de faire justice ! Pour cela, elle a apprit à manier le katana, à tirer à l’arc et s’est entraînée à l’athlétisme. En tant qu’otaku/passionnée de manga, elle se doit de mettre en scène ses entrées. Malheureusement aux yeux de la plupart des individus, elle passe plus pour une folle que pour une sérieuse justicière et sa maladresse légendaire ne l’aide pas beaucoup. Ne vous fiez pas trop aux apparences ! Malgré qu’elle part rapidement au quart de tour dès qu’elle perçoit une injustice, elle est très sérieuse dans la manière d’aborder les problèmes –Ce qui ne se voit pas au premier abord-. En fait, pour cette adolescente de Tokyo, jouer la justicière est plus un jeu qu’autre chose.

Concernant son côté pervers, son air d’obsédée en dit long sur ses motivations. Ses goûts en matière d’êtres humains sont plus mitigés. Mis à part Sakura, sa dulcinée ainsi que sa meilleure amie dont leur relation est loin d’être platonique, Haruka a une forte attirance pour les femmes et moins pour les garçons. Dans les deux cas, elle les considère tous comme des objets de plaisirs. Comme pour son côté justicier, elle est très directe, ne passant pas par de multiples détours pour arriver à ses fins. Elle se lance donc à corps perdus dans son objectif tant que celui-ci ne sera pas accomplit. Une fois atteint, elle récupère, en guise de trophée, le sous-vêtement que portait sa cible. Ne soyez donc pas surpris de la voir apparaître dans votre dos ou en train de fouiller votre tiroir, casier… Elle recherche seulement à en savoir plus sur vous. Elle peut même vous rendre visite durant votre bain, votre douche ou même votre sommeil… Enfin, pour assouvir ses penchants sexuels, elle sera prête à tout pou vous mettre dans son lit et jouer à des jeux pervers où elle jouera les soumise mais depuis peu aussi les dominatrices.

 


 
 

Classe : Héroïne
 
  Première compétence : cosplay : J’enlève rapidement mon uniforme de   collégienne dévoilant mon uniforme de justicière que je porte quasiment   toujours sur moi comme une seconde peu, tout comme mon katana. J’ai aussi de   nombreux costumes que je montre uniquement à mes partenaires de jeu.
 
  Deuxième compétence : Hentaï : Je suis une perverse, soulevant et   baissant rapidement les jupes et les pantalons de mon entourage et piquant   leurs sous-vêtements pour ma collection.
 
  Handicaps : Empotée
 
  Atouts : Elle ne manie pas le katana à la perfection mais peut   parfaitement s’en servir pour attaquer et se défendre ainsi que forcer ses   victimes à lui donner leurs sous-vêtements si elle ne les a pas récupérés par   la manière douce.
 
  Autres informations : Second personnage créé pour le concours.
  En plus de voir la justice triomphée, elle a l’objectif de posséder la plus   grande collection de sous-vêtements mondiale (même si cette collection   possède des objets volés).
 
  Liste de mes victimes à Genkito :
 
  Tsukihara Tatsumi : une   culotte volée dans son sac lors d’une discussion dans le couloir du bâtiment principal.   Sa description est ici.

 

 

 

 

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